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In menschlichen Gesellschaften gilt der Leichnam als besonderer Körper. Das Weiterverfahren mit ihm folgte in Europa seit der Spätantike überwiegend christlichen Traditionen. Das bis dahin religiös besetzte Überdauern nach dem Tod erfuhr indes in den westlichen Modernen seit dem ausgehenden 18. Jahrhundert eine weltanschauliche Entzauberung: Vorwiegend männliche Akteure suchten dem Tod durch Technik, Medizin und Wissenschaft beizukommen und so eine innerweltliche Ewigkeit, zumindest aber Ordnung von und Kontrolle über Tod und Verfall zu schaffen. Carolin Kosuch erzählt eine neue Geschichte des Todes. Ihre Studie spannt den Bogen von der sich transnational entwickelnden Feuerbestattung des langen 19. Jahrhunderts bis hin zu Körperkonservierungsverfahren und zum Tod im Digitalen des 21. Jahrhunderts. Ganz besonders blickt sie dabei auf die Geschichte des Säkularismus, des Körpers, des Geschlechts und der Emotionen.