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»Johnny – Hilfe!« Die Frau schrie, während ihr der eine Kerl mit dem Unterarm das Kinn zurückbog und der andere in den Kasten unter dem Tresen griff, in dem Reddy-Lou das Geld aufbewahrte. Ja, Rotschopf-Lady, ich bin schon da, dachte Johnny Boon und sprang. Die Linke des Mannes wollte nach dem Colt schnappen, aber Johnny Boon war zu schnell zur Hintertür hereingekommen. Johnny trat aus dem Sprung voll gegen die Schublade. Der Kerl schrie. Es gab ein ganz dumpfes Geräusch, als Johnny an den Tresen prallte und mit dem rechten Arm einen Sichelhieb führte. Der erwischte den Mann, dem die Schublade das Handgelenk angeknackst hatte, am Kinnwinkel und schleuderte ihn nach hinten. Er landete auf den Dielen. Johnny raffte den Colt des Burschen an sich und sah den zweiten Kerl, mit dem die Rotschopf-Lady-Lou, die eigentlich Louisa hieß, kämpfte. Johnny holte mit der Waffe aus. Dann schlug er zu und war selbst erstaunt, daß der Kerl sein Messer fallen ließ und sich danach vor Reddy-Lou »verneigte«. Er gab sie frei, fiel mit dem Gesicht voran auf die Bretter von Reddy-Lous Saloon in Guadalupe. »Johnny!« Reddy-Lou hob die Arme und klammerte sich an ihn. »Johnny!« Marshal John Boon spürte ganz deutlich, daß ihn jemand anfaßte, als er nach dem Traum jäh die Augen aufschlug. »Johnny, wach auf!« Wie denn, nicht Reddy-Lou, dieses verrucht-schöne Weib mit den aufregenden Formen? Das Gesicht war vor ihm.