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Gern folge ich dem Ersuchen meines Schulers BURGHARD BREITNER, ihm die folgende Arbeit mit einem kurzen Vorwort einzuleiten. Zu meiner Studienzeit war uber die physiologische Bedeutung der Schilddruse so gut wie nichts bekannt. Meine Lehrer in der Physiologie A. FICK, L. HERRMANN und ERNST VON BRUCKE lieBen es bei diesem Kapitel mit einigen knappen Hinweisen auf den geweblichen Aufbau und den Kolloidgehalt bewenden und fanden sich damit ab, die Schild- druse unter die Drusen ohne Ausfiihrungsgange zu reihen. Von der Existenz von Epithelkorperchen hatte die damalige Anatomie uberhaupt keine Kenntnis. Eindrucksvoll und zunachst unerklarlich waren die ersten Beobachtungen uber gewisse typisch wiederkehrende Folgezu- stande nach manchen Kropfoperationen, die gerade damals unter BILL- ROTHS Fuhrung ihre technisch-methodische Ausbildung erfuhren. Es bedurfte langer Forscherarbeit, ehe es uns verstandlich wurde, daB zur selben Zeit KOCHER und WOLFLER bzw. N. WEISS an der BILLROTH Klinik uber so verschiedene Krankheitsbilder - und darunter auch Todesfalle - nach Kropfoperationen berichteten: aus Bern kam die Kenntnis der thyreopriven Kachexie, aus Wien die der Tetanie.