Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Flüchtende, hinterlassen Schmerzen, nicht nur bei den in Gefahr zurückgelassenen Familienangehörigen, sondern oft mehr noch bei sich selbst. So baut sich in der Erzählung "Die gläserne Heimat" die Protagonistin Azar ihre Schatten: das sind die Fotos der Mutter, der Großmutter und des Kindes Nazli. Mit ihnen spricht Azar, wie auch mit dem erfundenen deutschen Freund Klaus, ein erschreckendes Beispiel des Kampfes zwischen Anpassung und Isolation. In dieser Erzählung - wie auch in "So ist das Leben" - sind die vielfältigen Erfahrungen einer Asylbewerberin mit Intensität und starker Ausdruckskraft geschildert; differenzierte Aussagen, die auch für uns eine Herausforderung zu einer Auseinandersetzung mit uns selbst sind. Die Bedrohungen, denen Asylbewerberinnen hier ausgesetzt sind, die psychischen Barrieren, die die Kommunikation stören, hat die Autorin beschreibt die Autorin sehr eindrücklich. In "Die gläserne Heimat" wird Azar mit folgendem Satz im Ausländeramt belehrt: "Sie wissen doch, dass Ihnen keine Gefahr mehr droht, wenn Sie Ihre Reue bekunden? Das steht im Koran geschrieben …" In einer realistischen Erzählweise, die stets von Rückblenden unterbrochen wird, verarbeitet Farsaie die Erfahrungen des Exils und des Verbundenseins mit der eigenen Heimat. Die Erzählungen reflektieren spezifische Probleme einer selbstbewussten und aktiven Frau aus einem anderen Kulturkreis. So entsteht ein bitter- zärtliches Bild von hoher Sensibilität und Poesie über ein Leben, das ausweglos scheint, in dem mehrmals alles zerbricht.