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Mit der aktuellen Konjunktur der Philosophie Spinozas stellt sich die Frage, was wir seinem spekulativen System heute noch entnehmen können. Wie Kerstin Andermann darstellt, hat die produktive Aufnahme seines Denkens damit zu tun, dass Spinoza die Stellung des Menschen in einer Welt behandelt, die nur als ein Ganzes zu verstehen ist, dessen Elemente sich in mannigfaltigen Beziehungen konstituieren. In enger Auseinandersetzung mit Spinozas Ethik zeigt sie, dass Individuation sich in immanenten Kausalverhältnissen ereignet, die als Affektionsverhältnisse auszuweisen sind. Durch Affektionen wird die Macht der Individuen gesteigert oder gehemmt, und so ist die Freiheit der menschlichen Individuen von einer Erkenntnis her zu begründen, die eine Erkenntnis der Affektionen und damit eine je individuelle Affektfähigkeit ist.