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Gutzkows von Arno Schmidt empfohlenes Spätwerk über das Versinken bürgerlicher Werte in Börsencrash, Egoismus und Korruption. In seinem letzten Roman, der 1877, zwei Jahre vor dem Tod des Autors, erschienen ist, wendet sich Gutzkow noch einmal der Aufgabe zu, einen weiträumigen Gesellschafts- und Zeitroman zu schreiben. Anknüpfend an seine großen »Panorama-Romane« der 5oer Jahre, »Die Ritter vom Geiste« und »Der Zauberer von Rom«, entwirft Gutzkow ein Spiegelbild der Gründerzeit nach dem deutsch-französischen Krieg von 1870/71. »Die neuen Serapionsbrüder« handeln vom Niedergang der altliberalen bürgerlichen Gesellschaft und vom Aufstieg einer neuen Klasse von Spekulanten, die ohne Rücksicht auf das allgemeine Wohl ausschließlich an der Maximierung der Gewinne interessiert ist. Während die alten Ideale verschwinden und die alten Vorurteile sich weiter halten, wird das neue radikal kapitalistische System durch die Wirtschaftskrise von 1873 schwer erschüttert. Im Mittelpunkt des Romans, der in Berlin und auf einem Landgut spielt, steht eine Gruppe junger Leute unterschiedlicher Herkunft, die ihr privates und berufliches Glück machen wollen, ohne sich um abgelebte Prinzipien zu kümmern, aber auch ohne ihre persönliche Integrität zu verlieren. Ihnen zur Seite steht die Gesellschaft der neuen Serapionsbrüder, deren Mitglieder den Fortschritt der Korruption in Politik und Gesellschaft kommentieren.