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Der erste Teil des Tartarin-Zyklus ist zugleich der berühmteste. Der Roman ist geschrieben im Ton spöttisch-übertriebener Bewunderung für den "heldenmütigen" Tartarin. Daudet nennt den "wackeren, kleinen Rentner" fortwährend ironisch "großer Mann", "Teufelskerl", "der unerschrockene, der unvergleichliche Tartarin". Doch er ist nur ein Aufschneider und Säbelrassler, ein Maulheld, der kaum je aus seiner Vaterstadt herausgekommen ist und seine Abenteuer nur in der Fantasie erlebt. Aber "der Südländer lügt nicht, er erliegt einer Täuschung." Daudet beschreibt Tartarin als Don Quijote und Sancho Pansa in einer Person - hin und her gerissen zwischen Abenteuerlust und wehleidiger Bequemlichkeit.
Eines Tages entsteht das Gerücht, er werde auf Löwenjagd gehen. Bei der Überfahrt wird er seekrank, ebenso beim Ritt auf einem Kamel; er erschießt aus Versehen einen kleinen Esel, wird von einem Hochstapler betrogen und hat schließlich doch noch den ersehnten Jagderfolg: er erlegt einen alten, zahmen und blinden Löwen. Die Bevölkerung von Tarascon bereitet ihm bei seiner Heimkehr einen triumphalen Empfang.