Dijon d'Antan
« Dijon ne s'est pas développée au bord d'un grand fleuve ou de la mer ; elle a été épargnée par les catastrophes naturelles et les grosses destructions des guerres ; elle a eu une croissance concentrique autour de son noyau ancien. D'où son harmonie et sa richesse architecturale. »
Près de 400 cartes postales du début du XXe siècle témoignent de la richesse du passé de Dijon. Thérèse Dubuisson nous conte Dijon en 1900, du centre-ville médiéval et animé aux faubourgs, peu à peu englobés par la croissance urbaine du XIXe siècle. Une immersion dans le quotidien et les fêtes de la Belle Époque, lorsque Dijon, fière de sa trilogie gastronomique - moutarde, cassis et pain d'épices - et de son passé militaire, s'ouvre à la modernité avec l'arrivée du chemin de fer.