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Mit Essen spielt man nicht, sagen die Eltern. Mit Sprache schon, sagt Thilo Bock. Also stimmt der Mann in sieben mal sieben Gedichten das Hohelied der Genüsse an. Mit gepfeffertem Humor und reichlich Sinn fürs Kulinarische kommt er vom Leibgericht aufs Leibgedicht. Spaghetti sind ihm ein »heiß verschlungner Zungenkuss«, die Kartoffel Laura »des Hungers Dividende«, in Graubrot mit Butter erkennt er »unfassbares Glückskinderfutter«. Er schwärmt für Mortadella: »Du Hauch von Nichts auf meinem Teller«, sucht fürs »Laugengebäck« das »Backgepäck« und spürt im »Mundraum« den »Schlundflaum«. Doch auch als Kritiker tritt er in Erscheinung. Tofukäse, die Industriekartoffel EH92-527-1 und junger Gouda zum Beispiel bekommen bei ihm ihr Fett weg. Thilo Bocks »Verfressene Verse« sind eine lyrische Delikatesse für alle, die nicht nur essen, um satt zu werden.