Les premiers manifestes qui accompagnent les
oeuvres montées et présentées clandestinement
dans les appartements sous l'occupation nazie se
poursuivent par des réflexions et des essais théoriques
rejetant la doctrine imposée du réalisme
socialiste. Après le refuge dans l'espace métaphorique,
c'est la création du Groupe de Cracovie
et de l'ensemble Cricot 2 en 1955 qui lui permet
d'approfondir ses recherches sur l'art et le théâtre.
Les happenings, les «cricotages» et les expositions
se développent interférant avec l'oeuvre théâtrale et
toujours associés à d'importants manifestes jusqu'à
la création de La Classe morte (1975) qui inaugure le
cycle du «théâtre de la mort».