«Une brume grasse se lève sur le champ de bataille.
Avec le stylet, Jog n'a pas son pareil pour trancher une
phalange, pour cisailler les attaches d'une armure et
dépecer un cadavre de son cercueil d'acier. Il agit avec
une précision diabolique et ce, pour une seule raison : il respecte le
chevalier. Depuis qu'il exerce ce métier, il n'a jamais oublié de murmurer
une prière sur les corps qu'il allège. À l'image du chasseur qui rend
hommage à son gibier, le pillard doit respecter celui qui l'enrichit.»