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In der völlig neuen Romanreihe "Fürstenkrone" kommt wirklich jeder auf seine Kosten, sowohl die Leserin der Adelsgeschichten als auch jene, die eigentlich die herzerwärmenden Mami-Storys bevorzugt. Romane aus dem Hochadel, die die Herzen der Leserinnen höherschlagen lassen. Wer möchte nicht wissen, welche geheimen Wünsche die Adelswelt bewegen? Die Leserschaft ist fasziniert und genießt "diese" Wirklichkeit. "Fürstenkrone" ist vom heutigen Romanmarkt nicht mehr wegzudenken.
Prinz Christian von Greifstein hatte gerade sein Studium der Land- und Forstwirtschaft in München abgeschlossen. Die Wochen vor dem Examen waren anstrengend gewesen. Der junge Prinz hatte auch die Wochenenden zum Lernen benutzt. Jetzt kam er zum ersten Mal wieder nach Hause ins Fränkische, nach Schloss Greifstein. Er brachte seinen Freund und ehemaligen Studienkollegen, den Grafen Hans von Lehrfelden mit. Der Prinz pfiff sehr fröhlich vor sich hin und steuerte dabei seinen kleinen weißen Sportwagen die Serpentinen der Landstraße hoch. Sein Freund war so unmusikalisch, dass er nicht einmal pfeifen konnte. Als sie auf der Kuppe des Hügels angelangt waren, hörte Prinz Christian auf zu pfeifen und bremste seinen Wagen. »Schau mal, dort unten im Tal, dort liegt Schloss Greifstein«, erklärte er dem jungen Grafen. »Ich sehe nur eine große runde Kuppel, Christian.« »Ja, mehr ist von hier aus auch wegen der hohen Bäume nicht zu erkennen. Die Kuppel gehört zum Hauptschloss. Und ein Stück vom grauen Schieferdach schimmert dort auf der linken Seite zwischen den Ästen der alten Rotbuche«, erwiderte Prinz Christian. »Christian, es ist hier wirklich ganz herrlich. Langsam fange ich an zu verstehen, warum du beabsichtigst, dich auf Schloss Greifstein zu verkriechen.« »Nicht verkriechen, mein Lieber. Das gerade nicht. Ich will hier arbeiten, ich will hier leben und glücklich sein.