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¿Qué tienen en común Juan Negrín, Indalecio Prieto, Lázaro Cárdenas, Camilo José Cela, Marlon Brando y David Ben Gurion? Todos ellos, de formas diversas, están relacionados con el Vita, un yate en el que, a principios de 1939, se transportó en dirección a México una parte del tesoro de guerra de la República española. La importancia del conocido «Tesoro del Vita» radica en el hecho de que reunía objetos y colecciones pertenecientes al patrimonio histórico-arqueológico español que fueron requisados por el gobierno de la República en las catedrales de Toledo y Tortosa, el Palacio Real de Madrid y los monetarios del Museo Arqueológico Nacional y de la Casa de la Moneda, así como una parte de las reservas económicas de la Generalitat de Catalunya y materiales controlados por la Caja General de Reparaciones. Este libro estudia la composición de ese patrimonio, las luchas entre las diferentes facciones del exilio por controlarlo, su posterior conversión en dinero con ayuda de las autoridades mexicanas y la gestión que se hizo de dichos fondos. En él los autores proponen una sorprendente y rigurosa reflexión sobre la protección del patrimonio en tiempos de guerra.