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Das Spektrum der in den westlichen Industrienationen filhren- den Krankheiten und der darauf basierenden Thdesursachen hat sich in den letzten J ahrzehnten gewandelt. Wahrend frliher die Infektionskrankheiten und speziell die Thberkulose den hochsten Todeszoll forderten, sind in den Jahrzehnten nach dem zweiten Weltkrieg mit steigendem Wohlstand die Herz- und GefaBkrankheiten an die erste Stelle gerlickt. Trotz gewis- ser Erfolge in der Pravention in einigen Uindern wie z. B. in den USA, Kanada, Australien; aber auch in einigen Gebieten West- europas, in denen die Zahl der tOdlichen Hirnschlage und Herzinfarkte inzwischen wieder rlicklaufig ist, wird die Spit- zenposition in der Todesursachenstatistik hier auch weiterhin von diesen Krankheiten eingenommen. In anderen Uindern wie z. B. in Osteuropanehmen die Erkrankungsraten weiter zu. Wenn man sich fragt, was getan werden kann, urn weitere Er- fqlge auf diesem Gebiet zu erzielen, dann ist ein Blick in die Lander des Fernen Ostens hilfreich. In der Volksrepublik Chi- na undin J apanliegt die Sterblichkeit an koronarer Herzkrank- heit bzw. an Herzinfarkten flinf- bis zehnmal niedriger als in der Bundesrepublik Deutschland. Arteriosklerotische Durch- blutungsstorungen der unteren Extremitaten, auch diabeti- sche GefaBerkrankungen kommen dort kaum vor. Vergleicht man die Lebensweise der Bevolkerung in diesen Uindern mit den Verhaltnissen in den westlichen Industriena- tionen, so fallenerhebliche Unterschiedeinder Ernahrungauf. Wahrend in China Fleisch und Molkereiprodukte in deutlich geringeren Mengen als bei uns verzehrt werden, besteht der Hauptanteil der Ernahrung aus einer an pflanzlichem EiweiB und Schlackenstoffen reichen Kost.