Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Il s'agit moins ici de dresser un constat que de repérer des tendances, souvent plus nettes dans le domaine sociétal que strictement musical. Les compositeurs du XXIème siècle pourraient incliner, peu à peu, vers l'adoption d'une esthétique "régressive". Or, par "régressive", on ne décrira pas une démarche conservatrice, qui "va en arrière" du point de vue de l'histoire de l'art, mais plutôt de l'histoire personnelle: qui rétrograde non vers l'enfance de l'art, mais donc vers celle du compositeur ou du supposé auditeur. Cette tendance, peut-être relativement neuve (vieille d'une vingtaine d'années, peut-être, au maximum), vraisemblablement difficile à assumer encore au siècle précédent, développe, dans le cadre même (et les lieux de diffusion) d'une pièce de musique dite "sérieuse", des éléments qui pourraient sembler issus du domaine hyper-affectif et/ou supra-ludique de l'enfance, dans un champ a priori non seulement moins "sérieux" mais peut-être même ennemi de tout sérieux, pour peu que la notion de sérieux, en art, et dans la société occidentale en général, soit encore imaginée valide par notre époque dite, de plus en plus, "postmoderne".