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Mit den oben zitierten Worten eroffnete der Staatsprasident von Uganda, Yoweri Kaguta Musevani (1997), die Konferenz iiber das Management von Erdbeben katastrophen in Entwicklungslandern in Kampala. Diese Satze umreiBen kurz und biindig das Problem, das sich schon heute und im wachsenden MaBe fUr das nachste Jahrhundert abzeichnet und welches das Thema des heutigen Vortrags ist. Unser Verhiiltnis zu Erdbeben als Naturgewalt hat sich iiber die letzten Jahr tausende bis Jahrhunderte erheblich geandert. Erdbeben gehOren zu den Naturge walten, die yom Menschen nicht kontrolliert werden konnen und die dazu ohne Vorankiindigung auftreten. Man kann vor ihnen nicht davonlaufen wie vor einem Vulkanausbruch oder einem Hurrikan, die sich in der Regel geniigend vorher ankiindigen. Daher lag es nahe, Erdbeben als Ausdruck eines gottlichen Willens zu verstehen. Dies findet man in fast allen Kulturkreisen in Erdbebengebieten. Aus Celebes, dem heutigen Sulawesi, stammt die Darstellung (Abb. 1) der fol genden mythologischen Erzahlung (Ritsema, 1972). Maradika Pudu, der Erdgeist ist von Atala, dem Herrn des Himmels, beauf tragt worden, in der Erde zu sitzen und sie von Zeit zu Zeit beben zu lassen, urn die Leute zu erinnern, Atala nicht zu vergessen. Daher hat Maradika Pudu eine Wasserschiissel vor sich. Wenn er seinen kleinen Finger hinein taucht, gibt es ein kleines Beben; ... Sobald ein Erdbeben verspiirt wird, sollen Leute rufen "Herr wir sind hier.""