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Desde que publicara en 1996 El equipaje abierto (Marginales 152), sus incontables lectores han recibido muestras de su fecundísimo don de narración, pero Felipe Benítez Reyes, que no en vano es Premio Nacional de Poesía, la cultiva con la mesura que ésta exige. Así llega ahora, cuatro años después, Escaparate de venenos, que no dudamos en calificar de obra mayor en su trayectoria poética, y que confirma -y ahonda más, si cabe- la gravedad, el carácter reflexivo, casi metafísico, que ya anunciaba su libro anterior. Estamos ante un poemario decisivo en la lírica española. Amargos, de una helada lucidez, en muchas ocasiones estremecedores, com una colección de venenos, así son estos poemas. Vivencias desengañadas, reflexiones certeras sobre el presente, el amor, la poesía, la noche, las ciudades?Allí donde posa su mirada, el poeta ve signos de un desolado sinsentido, en todo se proyectan las sombras de la caducidad, de lo efímero y vencido por la edad. Los ciclos se suceden, pero permanecen las mismas pasiones, las mismas angustias, ese «cofre de sangre y ceniza» que es la historia humana. Como en un escaparate, en cada poema se contemplan escenas, retazos de vidas dispares, vidas condenadas al eterno fluir del tiempo, a la supremacía de la fugacidad. Agrupados en nueve partes, nueve núcleos temáticos que evolucionan y amplían admirablemente motivos mayores, Escaparate de venenos nos brinda una visión desencantada, pero sabia, ácida y desgarrada, expresada con infalible adjetivación, mediante iluminadores símbolos e imágenes que llevan la faz inconfundible de nuestro tiempo.