« Sept années plus tôt à Hambourg, l'hôtel face à la gare. Je me lève vers six heures du matin, il fait déjà jour, dimanche 28 juin. Je ferme la porte de ma chambre (la 467), ma valise à la main. La rue est déserte. Je traverse. Une fois entrée dans la gare, je reste un moment à contempler les quais de la balustrade : Bahnsteig 1, 2, 3, 4, 5... Mon train ne part qu'à 8 h 05, j'ai le temps.
Plusieurs chemins, plusieurs possibilités. »