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Pocos poetas de nuestra literatura muestran como Tomás Sánchez Santiago la preocupación a la hora de nombrar. En su discurso hay una evidente atención -yo me atrevería a decir precaución- por dotar al poema de una manifestación expresiva autónoma; él mismo ha señalado en alguna ocasión que cada palabra escrita es una decisión tomada. Para él la palabra es el medio para expresar el apasionamiento por la vida y sus matices, pero también su visión como mecanismo de defensa ante el ruido del mundo. Por eso, el autor de Pérdida del ahí busca la vuelta a las palabras, descoyunta el poema mediante el uso de metáforas e imágenes atrevidas con las que crear un espacio de intensidad, pero sobre todo de sentido y temblor que recorre el verso y es fruto del pulso vital y de una necesidad de quebrantar los discursos preestablecidos: Cuando escribes te manchas de ti mismo. Y pones oscuridad y aire atacado cuando respiras encimade lo que nombras.