Durant la marche, les paysages ne figurent rien. Ils déterrent le silence du regard. Ils enlèvent les yeux de la terre. [...]
Et la terre, rien. Et la terre, rien, sans la manière noire du chemin dans la montagne, le torrent nu, le rivage, et le blanc, invisibles du silence.
Le regard balbutie le torrent ou la vague dans la soif de voir.
Les bords perdus des pierres, de la terre et du chemin. Et nous penchés, nommant déjà les traces dans la tension de voir.