Eugène Boudin
les ciels
« Je n'ose pas songer aux plages inondées de soleil, aux beaux ciels orageux qu'il serait si bon de peindre en respirant la brise de mer » (Paris, 23 mai 1869).
Ciels bouleversés et habités de sombres nuées ou ciels sereins traversés par les nuages en marche, tous furent la passion d'Eugène Boudin pour qui « savoir s'occuper, intéresser sa vie aux choses en apparence futiles, c'est tout ce qu'on doit désirer » (16 avril 1865).