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Dank Samenspende, Eizellspende oder Leihmutterschaft halten immer mehr Paare und Singles das lang ersehnte Kind schließlich doch noch in den Armen. Ende gut, alles gut? Fraglich. Nicht weil hierzulande nicht alles erlaubt ist, sondern weil manches noch nicht hinreichend durchdacht ist. Die Auflösung der genealogischen Ordnung befreit von manchem, belastet aber mit anderem. Es macht etwas mit der Identität des Kindes, wenn seine Herkunft in biologische, genetische, soziale und rechtliche Anteile zerfällt. Auch die Binnendynamik einer Familie bleibt von der Entkoppelung tradierter Eltern-Kind-Konstellationen nicht unberührt. Elternliebe macht vieles wett. Doch eines Tages werden die Kinder nach den Elternanteilen weiterer, meist unbekannter Menschen fragen. Was macht das im Zusammenleben und bei der Identitätsfindung? Auf der Basis langjähriger Berufspraxis spannen die Autoren einen kulturanthropologischen Bogen und hinterfragen aktuelle gesellschaftspolitische Ambitionen sowie den noch dürftigen Forschungsstand.