Fragrances d'automne
L'amour, chez notre poète, est sain, comme sa poésie. Il est plein de dévouement et de fidélité... Le romantisme que développe Marin Aranda suit son chemin avec les vers de la femme bien-aimée. L'amour se confond avec elle dans un seul concept, une seule ombre, un seul désir. La source d'inspiration a un visage. La sensualité explose avec sa dynamite de mots. « J'ai tellement trouvé dans ta bouche ! » La beauté du crépuscule sur le corps aimé. La victoire sur la solitude. Le monde unique des amoureux. « S'il y a deux personnes / qui sont heureuses ensemble / les autres sont de trop ». La mélancolie. Les seins et la lune. Les lèvres engourdies après avoir fait l'amour. La femme comme chemin, comme idéal et comme arrivée. Pour conclure, le poète admire la femme et met l'ordre de ses vers à sa disposition.
Manuel Juliá, écrivain et journaliste