Gravelines blues ou « la nuit des cabines »
« Zélie Zébrouck posa son panier et ses sandales sur la petite terrasse en bois qui devançait la cabine. Elle sortit la clé de sa poche. Elle se pencha pour la mettre dans la serrure. Elle n'en eut pas le temps. La porte s'ouvrit violemment. La vieille femme ne put l'éviter. Le nez éclaté, elle tomba à la renverse, la tête enfouie dans son foulard qui but le sang. Des mains la tirèrent vers l'intérieur. Les sandales et le panier resté debout suivirent le même chemin. La porte se referma. »
Qui est à l'origine des évènements étranges ou tragiques qui perturbent Gravelines en cette fin du mois d'août ? Des antinucléaires ? Des chasseurs ? Des mécontents de la vie ?