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Pendant l'été 1980 je rendis visite à mon amie peintre, Jolaine Meyer, dans sa maison du Lubéron, à proximité de Roussillon. Elle venait de rentrer d'un séjour sur l'île de Santorin où elle avait peint vingt-quatre tableaux qu'elle avait titrés "Les Heures du jour et de la nuit". J'étais émerveillée par les variations de couleurs et les images que suggéraient ces peintures, quoiqu'elles fussent totalement abstraites. Le paysage de Provence, les vignes, les murs de pierres, la chaleur sèche de midi, et les soirées sous les grandes étoiles me furent si familières ! Des poèmes commencèrent à monter en moi auxquels il fallait donner vie. Je me revois pendant la sieste à l'ombre d'un saule, écrivant sans discontinuer. Ainsi les "Heures", comme la variation des couleurs d'heure en heure, devinrent le cercle de la vie et de la mort, si intime à chacun.