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Der neue Lyrikband vereinigt all die Eigenschaften, welche die Leser*innen an den Texten von Max Huwyler schätzen gelernt haben: den verstehenden Blick auf die Schwächen der Mitmenschen, das beharrliche Fragen nach Gott, Tod und der Rolle der Kirche, der Zweifel am menschlichen Fortschrittswahn. Max Huwyler geht seinen Weg jenseits aller Moden. Bald kommt er ins Erzählen, bald ins Philosophieren, wenn er nicht in aphoristischer Schärfe eine bitterböse Wahrheit ausspricht. Mit großer Leichtigkeit bewegt er sich zwischen der Hochsprache und dem Zuger Dialekt, auf dessen Charme er sich ebenso versteht wie auf dessen träfe Sprödheit. Wortwitz und Sprachspiel gehen in "ich habe ein gedicht geträumt" mit Eigensinn und Ironie eine originelle Verbindung ein.