" Elle se défend alors qu'elle ne devrait pas avoir à se défendre, elle seule a un droit sur son corps et ce qu'elle en fait est de sa responsabilité, à elle et cela n'est pas négociable. La question ne devrait même pas être posée. A moins, bien entendu, que son corps soit mis sous tutelle d'Etat comme étant un bien de l'humanité à préserver, auquel cas elle ne s'appartiendrait plus, auquel cas elle ferait partie d'un fonds commun, à la manière d'une espèce à préserver ou d'un monument classé patrimoine mondial mais en attendant qu'on en arrive là, la femme s'appartient et personne ne peut lui dire le contraire. "