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« Mon premier emballement, dit Jean Trarieux remonte à La Camargo ». Or, c’est en 1902 et en 1903 que cette fameuse jument gagna le prix du Conseil municipal. On ne refusera donc pas à l’auteur de ce livre un fameux capital de souvenirs. Les souvenirs seuls ne suffiraient pas à faire un livre. Il faut savoir s’en servir, Jean Trarieux, chroniqueur hippique du « Figaro » depuis près de quarante ans, a aussi une plume appréciée par tous les turfistes, et il serait détenteur incontesté de la « plume d’or » si on distribuait ce trophée des journalistes à la fin de chaque année, comme la cravache d’or des jockeys. Il écrit bien et il n’est pas conformiste. En aucun cas, il n’a donné autre chose que son opinion personnelle. Elle n’est pas toujours conforme à celle de la majorité, encore moins des dirigeants. Peu lui importe. Il ne se fie qu’à son jugement, qui n’a jamais cessé d’être bon. Naturellement, comme il arrive avec les critiques d’humeur, on n’est pas toujours de son avis. On trouvera ici qu’il est trop sévère avec tel cheval privé de pointe de vitesse, trop enthousiaste à l’égard de tel autre qui l’a séduit par sa façon de galoper. Mais personne ne pourra lui reprocher de n’avoir pas vécu les courses avec passion. En 1946, Jean Trarieux publiait dans cette même maison son « Journal d’un homme de courses » qui obtient un grand succès. Il lui restait à lui donner une suite, l’histoire des vingt-cinq ans qui conduisent de 1946 à 1970, de Prince Chevalier à Nijinsky. Cette histoire, la voici. Tous ceux qui aiment que le cheval leur soit conté y prendront un plaisir extrême.