Le judaïsme ne fait pas seulement problème pour les Chrétiens ; il existe aussi un «problème chrétien» pour les Juifs.
Le drame, c'est la crucifixion, d'où naît l'allégorisation du Juif. Paul se veut grec et juif, et l'Eglise prend la place des Juifs et culpabilise ses adeptes sans identité. «... accepter la dette» (de la Révélation) fut signe de «grandeur des Chrétiens, et leur faiblesse fut d'avoir essayé de liquider le créancier».
La notion de connaissance peut aboutir à une solidarité entre Juifs et Chrétiens face à la modernité qui définit l'homme par ses droits.
Avec Levinas contre Rousseau, l'homme ne peut pas se sortir du mal tout seul...