Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Jurgen von der Lippe von Oliver Domzalski Ob er die Hawaii-Hemden auch daheim tragt? Tragt ein Metzger seine blutige Schurze zu Hause? Also: Nein, die markante Berufskleidung bleibt im Schrank wahrend unseres Gesprachs.Der erste Eindruck vom Wohnzimmer: Bucher! Regale uber Regale. Klassiker, moderne Belletristik, Politik, Philosophie ... und er kann zu jedem Buch etwas sagen. 90 Prozent davon habe er gelesen, schatzt er. Dass er immer erst abends zum Arbeiten verabredet ist, mit dem Publikum seiner etwa 150 Buhnenauftritte und Lesungen im Jahr, hat den Vorteil, dass er tagsuber lesen kann. Und schreiben. Und sich fit halten in seinem eigenen Fitnessraum. Dort steht ubrigens auch der Fernseher. Wenn er Ideen braucht, geht er in sein Arbeitszimmer. Darin: Weitere Regale. Fachliteratur, also Humor. Stapel mit Zeitungsausrissen. Da muss er nur eine halbe Stunde drin blattern, schon sind die neuesten Kurzgeschichten im Kopf entworfen. In unserem Gesprach spricht er sehr bewegend von seinen Eltern und ihrem Sterben. Sehr bildhaft von den wilden und anarchischen Siebzigern in Berlin. Sehr uberzeugend von der berauschenden Erfahrung, auf der Buhne zu stehen. Und sehr gebildet und unterhaltsam uber Ernahrung, Medizin, Botanik und all die anderen Themen, uber die er sich enormes Wissen angelesen hat. Und es gibt - Uberraschung - viel zu lachen.