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In einem Rundumschlag kommentiert Wolfgang Pohrt die Angst der Kommunisten vor dem Crash und andere Aspekte der aktuellen Diskussion. Dabei weiß er wie immer mit originellen Gedanken zu brillieren. Die Linken klagen den Kapitalismus auf moralische Weise an, in Wirklichkeit jedoch wollen sie ihn retten, dabei ist er auf ihre Hilfe gar nicht angewiesen, denn der Kapitalismus ist ein System, das sich ständig neu erfindet und unkaputtbar ist und das aus jeder Krise gestärkt hervorgeht.
"Überhaupt kann man den Kapitalismus nur bewundern, je länger man sich mit ihm befasst. Marx ging es wohl ganz ähnlich, er hat am Ende auch nicht mehr gewusst, durch was man ihn ersetzen könne. Das Kapitel über den Kommunismus am Ende vom dritten Band des Kapitals ist ganz kurz. Und bestimmt nicht deshalb, weil Marx zu früh gestorben ist, um das Werk zu vollenden. Auch wenn er noch weitere 100 Jahre gelebt hätte, wäre ihm das nicht gelungen." | Wolfgang Pohrt