«Ce Trou noir où les formes parlent, où le verbe chante, où la
musique danse, où le corps exulte, taillé à la hache dans la connerie
humaine, pour la beauté du geste.»
Le chapitre éponyme évoque la brève histoire de ce cabaret dont
les effluves libertaires troublèrent quelque peu les nuits de Chine,
nuits câlines du 13ème Ar. de Paris en 1984-85. Le texte de l'époque,
confidentiel à plus d'un titre, est livré brut, avec sa fraîcheur et
ses fientes. D'autres chapitres, en 2013, apportent des corrections,
des compléments, des commentaires. Puis le récit s'ouvre sur des
réflexions plus élargies. Sinon, à quoi ça sert de ressasser le passé ?