La Chair des tristes culs
Une blonde plantureuse qui passe son temps à bronzer, une brune rabougrie qui vend des crêpes, un garçon suicidaire qui se rate, et un père défunt qui veut se faire pardonner se livrent à un étrange commerce de nourriture humaine visant la réconciliation des êtres.
« Dans cette drôle de pièce drôle, où tant de malheurs sont déjoués par de mutins zigzags, tambourine au loin derrière les mots l'émouvante tristesse de l'enfance, celle de cet autre inaccessible, ce désir d'humanité dont le charme tendre et anthropophage nous envahit. »
Extrait de la préface de Jean-Michel Ribes