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«La Segunda República fue un régimen ilegítimo», «la Guerra Civil la iniciaron las hordas rojas en Asturias en 1934», «Franco no fue un reaccionario de ultraderecha» o «la Dictadura fue el germen de la democracia» son algunos ejemplos de las tesis que una serie de historiadores y publicistas esgrimen desde un supuesto revisionismo histórico, desde una postura crítica, que poco o nada tiene de crítica, y menos aún de histórica. Los que se proclaman historiadores jamás deberían abusar ni violar el pasado ni faltar al método historiográfico: no está justificado que nadie haga pasar por verdadero un juicio que no responde a la realidad, y mucho menos si su defensa responde a intereses políticos o acientíficos. La crítica de la crítica denuncia el espeso muro de propaganda y manipulación históricas que se ha construido en las últimas décadas bajo la etiqueta de revisionismo. El autor, crítico de esos «críticos» (o historietógrafos, como los denomina) hace un repaso de nuestra historia contemporánea, desde la proclamación de la Segunda República hasta la actualidad, a través de un riguroso análisis de sus cuestiones más controvertidas para, acto seguido, diseccionar las intenciones y prácticas espurias de unos pretendidos historiadores que se manifiestan más bien como unos publicistas inconsecuentes, insustanciales, impotentes, prepotentes y equidistantes.