Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
En el pasado, los museos fueron el resultado de la paciente labor investigadora de eruditos, sabios o diletantes; pero en España hubo otro tiempo, no tan lejano, en que fueron los ignorantes y los arrogantes quienes construyeron y diseñaron los museos. De esta forma, se pasó de un tipo de museo con objetos pacientemente recuperados e investigados, pero deficientemente expuestos, a un museo sin objetos, sin investigación que avalara ninguna idea, pero con un magnífico plumaje. Museos que, al igual que los loros, hablaban al público, pero no le transmitían nada. Y de la misma forma en que se construyeron autopistas y trenes de alta velocidad sin pasajeros y aeropuertos sin aviones, en España se construyeron también museos sin ideas ni objetos. El resultado de este aquelarre cultural, auténtico festín de brujas, han sido magníficos edificios habitados por las telarañas. Insostenibles, inútiles, sin otra función que alimentar los bolsillos de la especulación que atenaza no ya el crecimiento de la cultura, sino también su propia existencia. Y en este panorama subsisten los museos, los de siempre, aquellos que habían nacido de la labor esforzada de sabios trabajadores de la cultura. Ellos no estuvieron presentes en el aquelarre cultural. Tampoco se beneficiaron de la especulación. Apenas se sostuvieron con sus andrajos frente al insultante despilfarro de los ricos. Frente a ello, hay que levantar la voz del Museo Pobre, del que no tiene recursos y nunca los ha tenido; del museo que ha sobrevivido a las guerras, a las bombas, al hambre y a los inviernos sin calefacción; aquellos museos cuyo director abre por la mañana y cierra por la noche, lleva la administración y atiende a las visitas, y cuyas vitrinas fueron compradas a base de las miajas que caían del despilfarro de los ricos.