Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
La de los tristes destinos es la décima y última novela de los Episodios nacionales. Fue publicada en 1907. Relata la caída del reinado de Isabel II y su exilio de España a Bayona, parís, Londresà El reinado es retratado por Galdós como frívolo y caprichoso, insistiendo en la inmoralidad, egoísmo y crueldad de la reina Isabel II. En esta novela pondera el amor de Santiago Ibero y Teresa Villaescusa -mujer que algunos críticos relacionan con Fortunata por su carácter o con la Celtíbera- por encima de esta situación, que tiene su máximo clímax del desarrollo diegético en el final teatralizado: ôSomos la España sin honra. Son la España con vida, la España fecunda, la que está más allá de los nombres y las apariencias, la pareja que ama la Libertad.ö