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Je voudrais insister sur deux idées sous-jacentes à la réflexion du CLUB 89, qui m’apparaissent capitales. La première est le refus de la fatalité qui n’est, selon le mot de Romain Rolland, que « l’excuse des âmes sans volontés ». La crise, ou plutôt la mutation que vit notre pays, n’est pas une fatalité. Encore faut-il, pour engager le redressement, prendre garde aux faux remèdes, aux théories que les circonstances nouvelles rendent caduques, à l’étatisme envahissant et sclérosant, au monétarisme intransigeant, à la tentation du repli sur soi qui nous mène, par les chemins du protectionnisme et de l’autarcie, à l’appauvrissement collectif et à l’amoindrissement des libertés. Aucun de ces scénarios n’est inévitable. Encore faut-il avoir la volonté inébranlable de les éviter, et prendre la voie de l’effort et du travail. La deuxième idée forte, c’est que le redressement national exige aujourd’hui une double rupture. Rupture avec les politiques contradictoires mais également dangereuse que conduit, depuis bientôt deux ans, le gouvernement socialo-communiste. Mais aussi rupture avec l’évolution plus ou moins voulue, plus ou moins subie des années 70 qui nous a menés à une forme de socialisation à peine déguisée de l’économie et de la société française. Jacques Chirac