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Louise Aubert prend la décision de quitter Mathieu Lord quand celui-ci entre au parti stalinien. Quinze ans plus tard, elle lui écrit une lettre dans laquelle, avec lucidité et courage, elle ose exprimer sa vision de leur histoire commune, marquée par l’absence de partage, l’autoritarisme et la cruauté mentale, au nom de l’amour.
Dans le récit qui suit cette lettre, Louise se remémore, au fil des phrases notées dans ses cahiers, chacune des séquences de sa rupture avec Mathieu et démasque la duplicité d’une avant-garde intellectuelle. Poursuivant sa quête de langage inachevée, elle raconte comment elle se réinsère dans la société, s’affranchit de la censure intérieure et trouve sa liberté de dire.
La Femme du stalinien est le dernier roman d’une trilogie dont les premiers titres sont : L’Homme qui peignait Staline [1989] et Les Apparatchiks vont à la mer Noire [2004].