La Fortuna
L'orpheline Giuseppa est surnommée « La Fortuna » pour la main généreuse qui a payé son éducation dans un couvent de Sicile. Elle mène toutefois une existence âpre au milieu de religieuses au coeur sec. Sa soif du monde et de liberté lui donne à l'âge adulte la force d'emmener mari et fils loin de la tyrannie de sa belle-famille, et loin de la terre natale. Avec pour seule boussole sa confiance en un avenir meilleur, elle entreprend de traverser la Méditerranée pour rejoindre les rives de la Tunisie, « petite Amérique » de l'immigration italienne, et pour se bâtir une nouvelle vie de femme libre.