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Île d'Aix, juillet 1815. Il est onze heures du soir. Le Grand Maréchal Bertrand, Las Cases et Montholon sont déjà installés sur le brick "La Magdalena", affrété d'ordinaire pour le transport du cognac entre Rochefort et les États-Unis. L'Empereur attend dans sa chambre de l'île d'Aix. Il est habillé en bourgeois, frac marron, pantalon de basin et chapeau rond. Il rêve aux temps lointains, où le lieutenant Bonaparte avait signé son engagement auprès de la Compagnie du Sciotto et de l'Ohio, pour entreprendre une carrière de colon en Amérique. La colère de sa mère, Laetizia, avait fait échouer le projet. À onze heures et demie, Besson et le Grand Maréchal viennent chercher l'Empereur : "Sire, le navire est sous voiles, on n'attend plus que vous." Napoléon descend les marches de l'escalier secret, qui joint sa chambre à l'entresol. Besson et Bertrand sont à quinze marches du palier. "La Magdalena" à trente encablures du rivage. Napoléon Bonaparte s'embarque pour l'Amérique… Que se passe-t-il, à cet instant précis qui le fait hésiter, puis renoncer et le décide à se rendre aux Anglais ? Un inédit d'Alexandre Dumas ? Non, le mystère élucidé de « La nuit de l'île d'Aix ». Le récit peut faire penser à Dumas, mais un Dumas où tout serait vrai, où les personnages et les événements ne sont jamais inventés, mais sortent des archives pour entrer dans l'Histoire. À travers des Mémoires et des documents inédits ou inconnus, c'est le récit le plus fascinant, le plus riche en découvertes, en mystère et en "suspense", qui ait jamais été consacré à Napoléon. Et c'est un Napoléon pathétique, que nous allons suivre pendant trois semaines, de Waterloo à la Malmaison, puis à Rochefort, dans cette course haletante vers l'Amérique : "L'Amérique qui était notre vraie patrie sous tous les rapports", dira l'Empereur à Sainte-Hélène, en évoquant cette « Nuit de l'île d'Aix », qui allait changer le destin du monde.