« J'ai envie de crier, de crier et de pleurer. De pleurer de joie. Mais je ne peux pas. Entre mes larmes, je vais sourire. Et sa
mère est là qui me regarde. Ses yeux ne m'ont pas quittée de tout le procès. (...) J'ai seize ans et j'étais accusée d'avoir tué
Alex. Son fils. Mon mec. »
Le bonheur et la honte après l'annonce de l'acquittement. Mais pour Célia, c'est de sa vie qu'il s'agit. Une vie sans Alex, et pourtant une vie à vivre.