Désormais également disponible... en papier... livre de 112 pages...
Des textes courts, peut-être l'essentiel... et des observations sur la poésie...
Sauf naturellement si vous "avez un nom", les éditeurs traditionnels sont formels : « la poésie ne se vend pas. » (n'est pas rentable dans leur système aux frais généraux et salaires des patrons élevés)
Les plus organisés peuvent ajouter que malgré l'immense qualité de vos vers, il vous faudra, pour leur permettre de rencontrer leur public, payer une prestation de compte d'auteur (avec proposition jointe d'un partenaire ayant le même actionnaire ? http://www.publibeurk.com ).
« Tout le monde fait ainsi. » Non ! Je ne connais (en vrai et amicalement) aucun auteur ayant payé un éditeur. L'auto-édition en papier permet, à long terme et avec obstination, d'atteindre le seuil de rentabilité d'un livre, même de la poésie. Il ne fallait pas exiger beaucoup plus !
L'auto-édition numérique, c'est la poésie enfin publiable, même pour un lectorat limité.
En 1991, je publiais "Eternelle Tendresse", premier livre, recueil de poèmes. J'avais 20 ans. Oh... et quelques mois.... Puis je suis passé aux romans, pièces de théâtre, essais, textes de chansons... le plus souvent sous d'autres noms, le pseudonyme officiel et quelques variantes...
Je est de nombreux autres, dans ce grand jeu.
Dernier clap avant fermeture ?
Jean-Luc Petit
http://www.jean-lucpetit.net