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Nunca antes traducida al castellano y publicada en 1912, La polilla y la herrumbre trata sobre la verdad y sus consecuencias; o, mejor dicho, sobre la responsabilidad de la verdad. Y también, como escribiera Cyril Connolly, «sobre el dinero y la estupidez». Diálogos a lo Janes Austen; citas no tan encubiertas a Henry James, amigo de la autora; shakespearianos pasajes de enredo y falso desdén; y mucha ironía, hasta llegar a la sátira en lo referente al amor y la posición social. Todo ello contado con un interesante distanciamiento, que logra, aquí y allá, sutiles momentos de humor... Dos parejas de enamorados, un hermano vividor y caradura, un par de madres sin escrúpulos, y, por qué no, algo de bondad y sentido común. Estos son algunos de los atractivos «ingredientes» de este libro.