« Tchinza ajouta d'un ton joyeux, en posant la main sur l'épaule de sa nouvelle amie : - Sultane Salmé, il n'existe pas de prison dont on ne puisse s'évader. C'est une chose que m'a apprise la vie - et ma mère. »
La recherche de sa mère entraîne Tchinza jusqu'à Zanzibar. Elle y découvre les marchés aux esclaves et la vie des femmes dans les harems. Sa quête de liberté continue.