«C'est chez Dayen que j'avais ressenti les premiers
signes d'une déprise, d'un départ - j'ignorais alors qu'il
serait précédé de beaucoup d'autres. Un accablement, une
aversion soudaine pour le décor, le décor humain j'entends,
car il y avait un piano. Qu'est-ce que mon corps - autrement
dit ce qu'il me restait de ma vie - faisait là ?»
La recherche de la couleur mêle voyage intérieur et
portrait d'une époque. Un tableau détonant.