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La Religion du Capital, farce savoureuse de l’auteur du Droit à la paresse publiée pour la première fois en 1887, est le compte-rendu fictif d’un congrès international tenu à Londres, au cours duquel les représentants les plus éminents de la bourgeoisie rédigent les Actes d’une nouvelle religion pour ce Chaos qu’ils ont créé et ont décidé d’appeler «Monde civilisé».
«Je crois au Capital qui gouverne la matière et l’esprit ; Je crois au Profit, son fils très légitime, et au Crédit, le Saint-Esprit, qui procède de lui et est adoré conjointement ; Je crois au Grand-Livre de la Dette publique, qui garantit le Capital des risques du commerce, de l’industrie et de l’usure ; Je crois à la Propriété individuelle, fruit du travail des autres, et à sa durée jusqu’à la fin des siècles ; Je crois à l’Éternité du Salariat qui débarrasse le travailleur des soucis de la propriété. Amen.»