Calaferte avait posé sa main sur le genou de la fille. Il palpait la chair dodue à travers le bas de coton noir. Tout doucement, la main rampait sous la robe, vers la chair tiède du haut des cuisses. Il remontait de plus en plus haut, comme sans s'en rendre compte. Et voilà que ses doigts atteignaient le renflement moite du slip de coton.
Les yeux dans le vide et les joues pourpres, Agostina croquait un macaron aux amandes, pendant qu'un index insidieux soulevait le coton...