Ce texte est la transcription d'un manuscrit de neuf pages que j'ai eu la chance d'acquérir à Paris en 1982. Il est fort probable qu'il s'agit d'un manuscrit d'une des conférences qu'il donnait dans les années 1860, à Avignon ou peut-être même en 1857, comme peut le laisser supposer une affichette d'annonce que l'on retrouve à l'Harmas. Ce que contient ce petit texte est une leçon oubliée sur la nécessité de l'air pour la vie. Aujourd'hui que l'humanité possède 36 000 poisons divers et variés, ne serait-il pas judicieux de relire Fabre ?
Christopher Middleton