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Authentique et extraordinaire destinée que celle d’Antoinette Lix, née en 1839, morte en 1909 après avoir participé à deux des plus grandes guerres du XIXe siècle. Fille d’un aubergiste alsacien qui l’avait élevée comme un garçon, belle, intelligente, elle partit à dix-neuf ans pour être professeur en Pologne où elle s’éprit de la mère de ses élèves et participa héroïquement à l’insurrection de 1863 sous le nom de « Michel le Sombre ». Après avoir suivi des cours de la Croix-Rouge et avoir soigné les cholériques de l’épidémie de Lille, elle reprit le fusil en 1870, cette fois chez les francs-tireurs des Vosges, contre l’invasion allemande. Ses faits d’armes qui lui valurent deux fois le grade de lieutenant font preuve d’un invraisemblable courage. Malgré l’amitié passionnée d’une femme de ministre, elle s’éteindra presque démunie dans un couvent de Saint-Nicolas-de-Port.