«Mon écriture privilégie ces deux motifs :
l'aphorisme et la digression. Et cependant,
j'échoue misérablement chaque fois que
j'essaie de placer - ce serait mon grand oeuvre -
une digression dans un aphorisme.»
Et si le grand oeuvre d'Éric Chevillard était
cet Autofictif, entreprise littéraire unique en
son genre, dont voici la septième année ?
On y découvre une fois encore que, si écrire
n'est pas tous les jours un conte de fée, le lire
en revanche est merveilleux.